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Quelques merveilles de composition, de couleurs et d'élégance dans la sobriété.
Quelques taches posées très justement pour illustrer un point de vue précis
comme “les laveuses d'Etretat” en 1897.
Des tableaux d'une dextérité étonnantes comme cette “étude de fesses” de 1884
ou ce portrait de “Jasinski tenant son chapeau” en 1887.
Certains autres tableaux mélangent les plans avec différentes perspectives
sans doute la conséquence d'une source photographique.
Très élégeant tableau de la “femme nue assise dans un fauteuil rouge” de 1897
Et puis…
D'autres toiles semblent vraiment maladroites, incertaines,
elles contredisent tout le savoir-faire du début, …
N’y a-t-il que de vrais Vallontton dans cette exposition ?
Ne doit-on pas privilégier une sélection plus qualitative ?
Félix Vallotton - Grand Palais jusqu’au 20 janvier 2014
C. Naux
Pierre Huyghe - Centre Pompidou, Paris
Accueil surprenant par une tête d'animal de la Toison d'Or face à la tête de femme recouverte d'un essaim d'abeilles vivantes - on découvre un espace très libre ou les œuvres se répondent sans cartels ni ordre strict - on tombe sur le bernard l'hermite dont la coquille est une muse de Brancusi. du sable fushia d'un sablier cassé - le temps a peur - une patinoire noire comme si le mot noire devient un décor. Life dans la nuit sur une toile - Expédition scintillante - une fumée multicolore sort comme d'un tombeau de pharaon le temps s'arrête - il est ailleurs et le rêve est là - Allez voir jusqu'au 6 janvier 2014 -
- CN -